Marcelle et les cigognes, Myriam Raccah, Charline Collette, les fourmis rouges, 2021, 16€ Une année dans la vie d'une femme, et dans celle des cigognes. Une double page par mois, sans texte et une dernière qui vient clore le récit accompagnée d'un court dialogue. D'abord, Marcelle voyage. Une vue plongeante montre sa voiture qui tire une petite maison sur une longue route. Les cigognes la survolent. Puis elles nidifient sur le toit de la maisonnette, désormais installée dans un coin de nature. Marcelle fabrique un berceau. En mars, les œufs des cigognes éclosent, et le ventre de Marcelle s'arrondit. Les pages présentent parfois une vue d'ensemble, montrant Marcelle et les cigognes évoluant dans leur joli paysage, d'autres mettent en scène la vie des humains à gauche et celle des oiseaux à droite. Les peintures de Charline Collette sont d'une extrême douceur, la vie de cette mère célibataire est très paisible, en harmonie avec la nature, et en compagnie du chat. Le nourrisson grandit, les petites cigognes prennent leur envol. En hiver elles sont loin, mais Marcelle, son bébé et son chat ne souffrent pas de solitude, des amis viennent leur rendre visite dans la petite maison. Cet album se passe parfaitement de texte, il raconte par ses images une vie très paisible, une maternité douce, et une relation mère enfant sereine. Si le silence vous met mal à l'aise, je suis sûre que vous trouverez facilement les mots pour accompagner ces pages, et que les enfants à qui vous le montrerez auront également plein de choses à en dire. Mais vous pouvez aussi oser le montrer sans rien dire, faites confiance aux enfants, ils savent parfaitement lire les images. (vous pouvez aussi consulter cet article sur la médiatisation des livres sans texte) J'ai un coup de cœur particulier pour les tableaux de Marcelle et son bébé sur un fond jaune lumineux. Le petit visage de l'enfant endormi, dans les bras de sa mère ou tétant son sein sont délicates et les postures parfaitement rendues. En vis-à-vis, les oisillons qui dorment sont tout aussi touchants. L'album se pare d'une jaquette toilée de belle qualité qui cache une carte de la migration des cigognes. C'est un bel objet, une jolie histoire et des images magnifiques.Marcelle et les cigognes, Myriam Raccah, Charline Collette, les fourmis rouges, 2021, 16€

Une année dans la vie d’une femme, et dans celle des cigognes.

Une double page par mois, sans texte et une dernière qui vient clore le récit accompagnée d’un court dialogue.

D’abord, Marcelle voyage. Une vue plongeante montre sa voiture qui tire une petite maison sur une longue route. Les cigognes la survolent. Puis elles nidifient sur le toit de la maisonnette, désormais installée dans un coin de nature. Marcelle fabrique un berceau. En mars, les œufs des cigognes éclosent, et le ventre de Marcelle s’arrondit.

Marcelle et les cigognes, Myriam Raccah, Charline Collette, les fourmis rouges, 2021, 16€ Une année dans la vie d'une femme, et dans celle des cigognes. Une double page par mois, sans texte et une dernière qui vient clore le récit accompagnée d'un court dialogue. D'abord, Marcelle voyage. Une vue plongeante montre sa voiture qui tire une petite maison sur une longue route. Les cigognes la survolent. Puis elles nidifient sur le toit de la maisonnette, désormais installée dans un coin de nature. Marcelle fabrique un berceau. En mars, les œufs des cigognes éclosent, et le ventre de Marcelle s'arrondit. Les pages présentent parfois une vue d'ensemble, montrant Marcelle et les cigognes évoluant dans leur joli paysage, d'autres mettent en scène la vie des humains à gauche et celle des oiseaux à droite. Les peintures de Charline Collette sont d'une extrême douceur, la vie de cette mère célibataire est très paisible, en harmonie avec la nature, et en compagnie du chat. Le nourrisson grandit, les petites cigognes prennent leur envol. En hiver elles sont loin, mais Marcelle, son bébé et son chat ne souffrent pas de solitude, des amis viennent leur rendre visite dans la petite maison. Cet album se passe parfaitement de texte, il raconte par ses images une vie très paisible, une maternité douce, et une relation mère enfant sereine. Si le silence vous met mal à l'aise, je suis sûre que vous trouverez facilement les mots pour accompagner ces pages, et que les enfants à qui vous le montrerez auront également plein de choses à en dire. Mais vous pouvez aussi oser le montrer sans rien dire, faites confiance aux enfants, ils savent parfaitement lire les images. (vous pouvez aussi consulter cet article sur la médiatisation des livres sans texte) J'ai un coup de cœur particulier pour les tableaux de Marcelle et son bébé sur un fond jaune lumineux. Le petit visage de l'enfant endormi, dans les bras de sa mère ou tétant son sein sont délicates et les postures parfaitement rendues. En vis-à-vis, les oisillons qui dorment sont tout aussi touchants. L'album se pare d'une jaquette toilée de belle qualité qui cache une carte de la migration des cigognes. C'est un bel objet, une jolie histoire et des images magnifiques.

Les pages présentent parfois une vue d’ensemble, montrant Marcelle et les cigognes évoluant dans leur joli paysage, d’autres mettent en scène la vie des humains à gauche et celle des oiseaux à droite. Les peintures de Charline Collette sont d’une extrême douceur, la vie de cette mère célibataire est très paisible, en harmonie avec la nature, et en compagnie du chat.

Le nourrisson grandit, les petites cigognes prennent leur envol. En hiver elles sont loin, mais Marcelle, son bébé et son chat ne souffrent pas de solitude, des amis viennent leur rendre visite dans la petite maison.
Cet album se passe parfaitement de texte, il raconte par ses images une vie très paisible, une maternité douce, et une relation mère enfant sereine. Si le silence vous met mal à l’aise, je suis sûre que vous trouverez facilement les mots pour accompagner ces pages, et que les enfants à qui vous le montrerez auront également plein de choses à en dire. Mais vous pouvez aussi oser le montrer sans rien dire, faites confiance aux enfants, ils savent parfaitement lire les images. (vous pouvez aussi consulter cet article sur la médiatisation des livres sans texte)

Marcelle et les cigognes, Myriam Raccah, Charline Collette, les fourmis rouges, 2021, 16€ Une année dans la vie d'une femme, et dans celle des cigognes. Une double page par mois, sans texte et une dernière qui vient clore le récit accompagnée d'un court dialogue. D'abord, Marcelle voyage. Une vue plongeante montre sa voiture qui tire une petite maison sur une longue route. Les cigognes la survolent. Puis elles nidifient sur le toit de la maisonnette, désormais installée dans un coin de nature. Marcelle fabrique un berceau. En mars, les œufs des cigognes éclosent, et le ventre de Marcelle s'arrondit. Les pages présentent parfois une vue d'ensemble, montrant Marcelle et les cigognes évoluant dans leur joli paysage, d'autres mettent en scène la vie des humains à gauche et celle des oiseaux à droite. Les peintures de Charline Collette sont d'une extrême douceur, la vie de cette mère célibataire est très paisible, en harmonie avec la nature, et en compagnie du chat. Le nourrisson grandit, les petites cigognes prennent leur envol. En hiver elles sont loin, mais Marcelle, son bébé et son chat ne souffrent pas de solitude, des amis viennent leur rendre visite dans la petite maison. Cet album se passe parfaitement de texte, il raconte par ses images une vie très paisible, une maternité douce, et une relation mère enfant sereine. Si le silence vous met mal à l'aise, je suis sûre que vous trouverez facilement les mots pour accompagner ces pages, et que les enfants à qui vous le montrerez auront également plein de choses à en dire. Mais vous pouvez aussi oser le montrer sans rien dire, faites confiance aux enfants, ils savent parfaitement lire les images. (vous pouvez aussi consulter cet article sur la médiatisation des livres sans texte) J'ai un coup de cœur particulier pour les tableaux de Marcelle et son bébé sur un fond jaune lumineux. Le petit visage de l'enfant endormi, dans les bras de sa mère ou tétant son sein sont délicates et les postures parfaitement rendues. En vis-à-vis, les oisillons qui dorment sont tout aussi touchants. L'album se pare d'une jaquette toilée de belle qualité qui cache une carte de la migration des cigognes. C'est un bel objet, une jolie histoire et des images magnifiques.

J’ai un coup de cœur particulier pour les tableaux de Marcelle et son bébé sur un fond jaune lumineux. Le petit visage de l’enfant endormi, dans les bras de sa mère ou tétant son sein sont délicates et les postures parfaitement rendues. En vis-à-vis, les oisillons qui dorment sont tout aussi touchants.

L’album se pare d’une jaquette toilée de belle qualité qui cache une carte de la migration des cigognes. C’est un bel objet, une jolie histoire et des images magnifiques.